Dans la presse

LES INROCKUPTIBLES

« Le Brésilien Cristóvão Tezza, dont c’est le premier roman publié en France, livre une analyse sèche et désillusionnée de la paternité, son bonheur possible mais aussi sa liberté endeuillée. Phrases taillées à la serpe, acidité du récit : Le fils du printemps pourrait bien être la révélation latino-américaine de cette rentrée »