Dans la presse
« A lire, par ceux qu’intéressent les raisons profondes de la crise de 1929. Aussi, allez disons surtout, par ceux que trouble la double vie de cet homme, son rapport au réel, au concret, la continuité, entre des lettres au Quai sur l’état financie...
« Comment ne pas mentionner cette correspondance diplomatique de Paul Claudel, ambassadeur de France à Washington de 1927 à 1933, qui a une vigueur saisissante. »
« […] on apprécie cette contribution inattendue à la figure de l’écrivain-diplomate, éclairante dans le contexte de la crise actuelle. »
« Le Brésilien Cristóvão Tezza, dont c’est le premier roman publié en France, livre une analyse sèche et désillusionnée de la paternité, son bonheur possible mais aussi sa liberté endeuillée. Phrases taillé...
« Felipe et son père vont vieillir et grandir ensemble. L’un le sait. L’autre pas. L’un finit pas dépasser "le territoire de la normalité imaginaire". Leur vie peut alors se résumer et commencer avec le seul dialogue de ce livre. Dans l&rsquo...
« Un roman sincère qui porte un regard acéré sur la paternité. »
« Cristovão Tezza a écrit le roman d’une filiation réciproque entre Felipe, trisomique et son père. Le fils du printemps a reçu des prix prestigieux au Brésil. »
« Tout ce qui suit est l’histoire d’un difficile apprivoisement père-fils, au fils des ans. Dans une prose impeccable. Sans mièvrerie. Avec violence parfois, tendresse souvent, étonnement toujours. Mais sans aucun espoir de voir ce gosse revenir à ...
Avec une grande attention portée aux émotions d’un homme qui n’était pas préparé à cette épreuve, l’écrivain brésilien trouve les mots pour traduire chaque instant. »
« Le Brésilien Cristovão Tezza réussit à écrire un livre fort et léger, distancié et sensible à la fois, à propos de son enfant trisomique. »
« Entraîné par l’analyse sèche des sentiments intimes et des émotions avortées, le lecteur découvre l’originalité de ce point de vue qui transforme l’expérience humaine en littérature. »