Stéphane DOVERT est né en 1966, il a passé dix-huit ans en Asie entre la recherche en sciences humaines et la diplomatie.
En charge de la coopération française dans la partie méridionale du Viêtnam et en Birmanie, il a également fondé, en Thaïlande, l’Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine.
Il a écrit ou coordonné, sous son nom ou le pseudonyme de Gabriel Defert, plus d’une dizaine d’ouvrages de recherche dont Timor Est : Le génocide oublié (L’Harmattan, 1992), Les Musulmans d’Asie du Sud-Est face au vertige de la radicalisation (Les Indes Savantes, 2004), Réfléchir l’Asie du Sud-Est (Les Indes Savantes, 2004) ou Les Rohingya de Birmanie (Aux Lieux d’Être, 2007).
Sa thèse de doctorat portait sur la partie indonésienne de la Nouvelle-Guinée (désormais appelée Papouasie occidentale). Cette région si particulière inspire donc Le Cannibale et les termites, son deuxième roman après la saga de science-fiction Les Magnolias du divin (Akr-Arkuyris, Paris-Toulouse, 2003).