La décadence d’une famille de fazendeiros du Minas Gerais a fait de Belmiro un petit fonctionnaire à Belo Horizonte. Ce fils de famille vit avec ses tantes, vieilles filles un peu folles. Ayant atteint la quarantaine, Belmiro tient un journal nostalgique. Il y note avec mélancolie les passions qu’il s’interdit de vivre et les interminables discussions avec ses amis.
« Un humour désabusé qui rappelle Machado de Assis. »
Libération
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« Un humour désabusé qui rappelle Machado de Assis. »LIBERATION