Dans cette Cuisine futuriste, dont le manifeste fut lancé par Marinetti à Turin, en 1931, on trouvera, comme il se doit, à boire et à manger : non seulement un recueil de recettes pour repas futuristes et polyboissons, mais aussi, au gré des lectures, un manuel de diététique et un manifeste politique contre les pâtes, jugées néfastes à la grandeur de l’Italie.
"J’ai ri! Dieu que j’ai ri! Ça fait du bien. Plutôt que le rire d’ailleurs, la lecture-dégustation de la Cuisine futuriste procure à l’amateur cette jubilation intellectuelle à quoi l’on reconnaît finalement la qualité d’une œuvre."
J. Cellard, Le Monde
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« J'ai ri ! Dieu que j'ai ri ! ça fait du bien. Plutôt que le rire d'ailleurs, la lecture-dégustation de La Cuisine futuriste procure à l'amateur cette jubilation intellectuelle à quoi l'on reconnaît finalement la qualité d'une œuvre. »Jacques CellardLE MONDE