Dans les années 70, sous le règne de la TV Globo, André l'orphelin, héritier d'une tradition militante révolutionnaire, a découvert que le mélange des lignes de coke et des textes de Marx provoquait des extases inouïes. Il est devenu trafiquant, et il affronte le monde en poussant devant lui le fauteuil roulant de son grand-père, ancien avocat du parti communiste, réduit à un regard terrible.
"D'une écriture fiévreuse et faussement cynique, Vinicius Vianna décrit remarquablement ce Brésil où la démocratie ne parvient pas à "exploser"."
Le Monde
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« D'une écriture fiévreuse et faussement cynique, V. Vianna décrit remarquablement ce Brésil où la démocratie ne parvient pas à exploser. »Raphaelle RérolleLE MONDE