Teresa a quitté la Sicile pour échapper au souvenir de l’assassinat de son père, le pâtissier, resté impuni sur ces terres de mafia. Elle travaille dans un organisme qui s’occupe d’alléger la solitude de malades en fin de vie, elle leur tient compagnie et écoute leurs histoires. Un jour, on l’envoie auprès d’un ancien “brigadiste” tout juste libéré de prison. Elle parle avec lui de son passé, de ce que veut dire tuer un homme, de la vengeance.
Elle choisit de faire face à sa vie sans se réfugier dans les lamentations et les lieux communs. Mais rien ne se passe comme prévu.
Un court roman, rapide et sec, qui va sans fioritures au cœur de la réflexion sur le meurtre et la vengeance.
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« Un roman bref et explosif. »Sandrine PoissonnierParis Normandie
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« Qu’elles sont appétissantes, les pâtisseries sur la couverture de ce livre... jusqu’à ce que l’œil tombe sur le titre qui les surplombe, La Vengeance de Teresa : et si les cannoli étaient fourrés à l’arsenic plutôt qu’à la pistache ? […] Un récit d’indignation, porté par un humour brut et désespéré, qui se résout dans un dénouement parfaitement fin et inattendu. »Bertrand BouardL'Express
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« Un remarquable roman à l'écriture ciselée. »Pascale FauriauxLa Montagne/Le Populaire du Centre/Le Journal du Centre / L’Yonne républicaine/L’Echo républicain
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"Un excellent roman « noir », atypique peut-être, avec cette touche personnelle et précieuse qui ne donne pas envie de le raconter, mais juste de dire à quel point le rythme ainsi que le choix des mots peut suffire parfois à stimuler l’esprit et à donner ce gout de poursuivre…"Site Encres vagabondes