A Lisbonne, une nuit dans un bar, un homme parle à une femme. Ils boivent et l’homme raconte un cauchemar horrible et destructeur : son séjour comme médecin en Angola, au fond de ce « cul de Judas », trou pourri, cerné par une guerre sale et oubliée du monde.
Extraordinaire par l’originalité de sa forme, la force et la poésie de sa langue, l’acuité de son intelligence.
» Comment ne pas penser au Voyage au bout de la nuit quand on lit Antonio Lobo Antunes. Vingt-sept mois d’esclavage sanglant dans la guerre d’Angola. Un voyage au bout de l’horreur. »
Libération
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« Comment ne pas penser au Voyage au bout de la nuit quand on lit A. Lobo Antunes ? Vingt-sept mois d'esclavage sanglant dans la guerre d'Angola. Un voyage au bout de l'horreur. »LIBERATION