Plus facile aux chats, croirait-on, d’arracher la première place mondiale qu’à un humain sans bras ni jambes d’accomplir le crime parfait. Eh bien, à moi, le Tronc, il m’a été donné malgré tout de réaliser ce tour de force.
Comment un homme privé de ses membres parvient-il à tuer ? Et le pervers est-il celui qu’on croit ?
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« Rarement polar n'aura autant interpellé son lecteur que L'Homme-Tronc : une excellente traduction de l'allemand, que l'on doit à Akif Pirinçci, auteur du génial Félidés. »LE REPUBLICAIN LORRAIN