1899. L’unité de l’Italie existe dans les cartes mais pas dans les cœurs des habitants.
Un groupe de carabiniers venus des quatre coins du pays est envoyé pour combattre le banditisme en Sardaigne, un lieu où il y a beaucoup de crimes mais aucune dénonciation. Affecté dans un petit village sarde superstitieux et féroce, le jeune vice-brigadier turinois Ghibaudo est très surpris par une plainte pour vol. Il l’est moins lorsque, en examinant les lieux du larcin, il découvre le cadavre d’un des carabiniers. Il est accompagné par le brigadier Moretti, romain, fervent catholique et enfant de la haute société, adepte d’une nouvelle méthode qu’il essaie d’imposer avec enthousiasme : les empreintes digitales. Ghibaudo, lui, veut résoudre l’enquête en racontant les histoires et donc en découvrant les failles du récit. Et on le suit.
La présence d’un poète vagabond ne va pas rendre la situation plus claire. Les poètes al volo, au vol, improvisateurs virtuoses, sortes de bardes, vont de village en village pour raconter sous forme de satire les dessous des puissants et les cancans des villages. Mais tout le monde a-t-il vraiment envie de tout savoir ?
Une enquête historique prenante avec des bandits, des poètes, des lettres anonymes et beaucoup de meurtres.
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"C’est plus qu’un bon polar, c’est un très bon roman, un récit basé sur l’Histoire et plein d’histoires." Lire la chronique iciSite Encres vagabondes
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"Il est ce brillant premier roman de l'italienne Sara Vallefuoco : structuré à la perfection, avec des personnages bien définis, une transposition historique plus que correcte et des rebondissements inattendus." Lire la chronique iciSite Baz'Art
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"Passionnant de bout en bout, avec de nombreux rebondissements, Noir d’encre est un formidable roman au titre à double sens, porté par une galaxie de personnages aussi complexes qu’attachants et une langue dense, touffue, surprenante, déroutante parfois mais toujours parfaitement en phase avec le récit."Jean-Marie WynantsLe Soir (Belgique)
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"Passionnant de bout en bout, avec de nombreux rebondissements, Noir d’encre est un formidable roman au titre à double sens, porté par une galaxie de personnages aussi complexes qu’attachants et une langue dense, touffue, surprenante, déroutante parfois mais toujours parfaitement en phase avec le récit."Jean-Marie WynantsLe Soir (Belgique)
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"Noir d’encre est un premier roman très bien conçu. L’atmosphère dense de soupçon et de méfiance comme la chaleur étouffante de ce début d’été 1899 en Sardaigne est rendue de manière remarquable. En donc, pour ce début d’été 2024, je ne peux que vous conseiller la lecture de Noir d’encre."Stefano PalombariSite L'Italie à Paris
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"Quand un excellent roman policier dans la Sardaigne de 1899 se double d’un génial roman tout court... C’est Noir d’encre, c’est de Sara Vallefuoco, c’est exceptionnel !Damien AubelTransfuge
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Lire l'article iciSite Benzine mag