" Le roman d’Elisabeth Reichart est tissé serré comme les mailles de l’inconscient, douloureux comme la quête quasi psychanalytique d’une identité brouillée. On s’y perd, on s’en délecte. "
Catherine Portevin, Télérama
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« Le roman d'Elisabeth Reichart est tissé serré comme les mailles de l'inconscient, douloureux comme la quête quasi psychanalytique d'une identité brouillée. On s'y perd, on s'en délecte. »Catherine PortevinTELERAMA