Préface de Robert Brechon
"C’est (en effet) l’homme illuminé, foudroyé par sa conscience du monde, que Vergilio Ferreira met en scène et en situation, qu’il élève à une puissance dramatique. La version française de Geneviève Leibrich parvient à restituer la dimension tragique de ce beau roman."
Le Monde
"Dans la cruelle peinture d’une petite ville provinciale, ce qui appartient en propre à Ferreira dans ces reflets de l’existentialisme, c’est la traduction violente, si intense de la vie et de ses ombres portées que son art ne ressemble à nul autre. "
L’Express
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« C'est l'homme illuminé, foudroyé par sa conscience du monde, que V. Ferreira met en scène et en situation, qu'il élève à une puissance dramatique. La version française de G. Leibrich parvient à restituer la dimension tragique de ce beau roman. »Patrick KéchichianLE MONDE