Dans une banlieue de Luanda près d’une petite plage, GrandMèreDixNeuf (on l’a amputée d’un orteil) s’occupe de toute une bande de gamins, curieux et débrouillards, amateurs de baignades et de fruits chapardés. Des coopérants soviétiques construisent un Mausolée gigantesque pour la momie de Agostinho Neto, le père de la Révolution. La guerre civile est terminée, ils vont moderniser le quartier si bien situé au bord de la mer. L’un des officiers est ami de la GrandMère, sa maison a toujours de l’électricité grâce à la dérivation qu’il lui a installée. Il souffre de cette chaleur, de ce soleil impitoyable, il rêve des hivers russes.
Les enfants ne veulent pas qu’on touche à leur quartier, ils prennent les choses en main pour pouvoir continuer à plonger dans la mer pour pousser des “cris bleu”.
Un roman au charme plein d’humour, une Guerre des boutons tropicale, et une traversée de l’histoire de l’Angola, quelques fantômes discrets. Le tout servi par une écriture élégante, poétique et ironique. Un régal de lecture.
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"Raconté à hauteur d'enfant, ce livre est un vrai délice. L'écriture est merveilleuse et les personnages qui l'habitent nous semblent tous un peu marginaux mais emprunts d'une vision qui ne laisse pas indifférent. N'ayez donc aucune crainte: bien qu'il soit question de sujets graves, il s'agit là surtout d'une très belle découverte, d'un livre touchant rempli d'humour et de poésie !"Laetitia
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"Ce roman est drôle, poétique, imaginatif. On y découvre un pays, une époque et la plume chatoyante de Ondjaki. Ce quadragénaire angolais est une voix qui résonne intelligemment en sortant le lecteur des clichés sur le continent africain."Karin CherloneixOuest France
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« On se laisse porter par ce récit aux portes de la capitale de l’Angola, où la guerre civile oppose Soviétiques et Cubains aux Sud-Africains. Envoûtant. »Marc GadmerFemme actuelle
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« Un vent de liberté souffle sur cet hommage à l’enfance qui laisse sur les lèvres un sourire et un goût "de mangues vertes avec du sel " comme le héros les aime tant. Un pur bonheur ! » Lire la chronique iciDominique Baillon-LalandeSite Encres vagabondes
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« Une vraie merveille, un livre poétique, original, magique qui parle de la rudesse de la vie en Angola dans les années 80 en pleine guerre civile. On retrouve des Cubains, des Soviétiques et toute une pléiade de personnages attendrissants et loufoques, du merveilleux aussi. » Ecouter le podcast iciMarlène Alves PereiraAligre FM - Lusitania
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« Quelle est la couleur des cris d’oiseaux ? Un livre qui pose ce genre de question peut emporter loin. » « Ondjaki met son écriture à la hauteur de ces gamins qui poussent des cris bleus sous l’eau, de leur imagination digne des fous et des poètes, de leur talent d’artificiers du langage. »François MontpezatDernières nouvelles d'Alsace
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Regarder le replay de l'émission ici (à partir de 20:10)Célia SadaïTV5 Monde - Le Journal Afrique
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« Si le contexte politique et historique joue à plein dans le décor de l’œuvre, il laisse la place à une histoire emplie de poésie, de tendresse, une histoire d'enfance dans laquelle un petit garçon regarde le monde, observe son environnement familial avec étonnement et crédulité. »CFDT Magazine
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« Ondjaki campe avec drôlerie et un sens du détail révélateur une enfance dans une Afrique rouge à l’heure postcoloniale. Une guerre des boutons tropicale hantée par des fantômes. »Muriel SteinmetzL'Humanité
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"Voici un roman amusant, apparenté à la commedia dell’arte italienne - on pense en particulier à II Campiello de Goldoni, qui conte la vie des habitants d’une placette de Venise - avec un côté Guerre des boutons."La Libre Belgique
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"Tendresse, humour et dépaysement sont les marques de GrandMèreDixNeuf et le secret du Soviétique de l’écrivain angolais Ondjaki."Martine FreneuilLe Quotidien du médecin
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"Ondjaki peut-être, ses lecteurs sans doute, trahiraient une légère stupeur si on leur confiait que, refermé ce roman chatoyant, attendrissant et malicieux, le premier nom qui nous a traversé l’esprit est celui de Proust."Damien AubelTransfuge
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"Le narrateur du nouveau roman d'Ondjaki possède une vision poétique du monde où la réalité s’offre à mille interprétations." "Un roman nostalgique et merveilleux."Gladys MarivatLe Monde des Livres
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"Pour nous dire son pays, le romancier joue sur les mots, entrelace souvenirs réinventés, poésie et langue orale. Les scènes banales de la vie angolaise s’animent de sons, de couleurs, d’odeurs. Décrivent un monde plein de fantaisie, malgré les dérives, les injustices, la guerre civile, les absurdités historiques et politiques."Catherine FayeAfrique Magazine
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"Un roman savoureux, original et décalé qui m’a donné envie de poursuivre ma découverte de son univers." Lire la chronique iciBlog Livr'escapades
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"Un roman tendre, drôle et chaleureux, ça fait du bien par ce temps glacial." Lire la chronique iciBlog Voyages au fil des pages
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"C’est avec plaisir que je me suis laissée entrainée par le doux écho de l’océan et par l’énergie entrainante des rires des jeunes angolais et à l’envie de croquer dans cette mangue, pas tout à fait mûre, saupoudrée de sel." Lire la chronique iciBlog Temps de lecture
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"Un bel hommage à l’enfance, à toutes ses potentialités, en un monde qui ne lui est pourtant pas toujours favorable. Encore une très belle découverte issue des éditions Métailié." Lire la chronique iciBlog L'art et l'être
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"GrandMèreDixNeuf et le secret du Soviétique est une fable joyeuse, qui raconte tendrement l’histoire d’un attentat façon Pierrot le Fou, mariant dynamite soviétique et soleil africain, une histoire racontée par un gamin rêveur, un terroriste en culotte courte, indigné à l’idée qu’on détruise les maisons et la vie de son quartier, son paradis." "Plus poétique que politique, sa verve fait merveille pour brosser le portrait d’un pays fantasmé, où l’absurde et le cocasse ont la saveur de "la mangue verte qu’on mange avec du sel"."Catherine SimonLe Matricule des Anges
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"Le romancier angolais le plus doué de sa génération enrichit la langue portugaise du continent africain d’un charme, d’une grâce et d’une touche incomparables."Sébastien LapaqueLe Figaro Littéraire
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"Jeune talent des lettres angolaises, Ondjaki anime un quartier de Luanda, bigarré et résistant."Véronique RossignolLivres Hebdo
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"Un livre très touchant, plein d’humour et de poésie. Une pépite !" Ecouter le podcast iciLaetitia de la librairie L'Intranquille (Besançon)France Bleu Besançon
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"GrandMèreDixNeuf et le secret du Soviétique n’a peut-être pas le souffle épique des Transparents, l’ouvrage phare de l’écrivain angolais Ondjaki – Ndalu de Almeida de son vrai nom –, mais il en a conservé l’ironie mordante, le réalisme magique et la force poétique." Lire l'article iciSéverine Kodjo-GrandvauxLe Monde Afrique