À la fin des années 90, le jeune Oulmene, fils d’un notable du régime algérien et cancre notoire, décide de créer une banque privée puis une compagnie aérienne, il n’a aucun financement, mais la nomenklatura d’Alger voit immédiatement l’intérêt du projet. Tout un système d’influences mafieux se met en place pour drainer vers cette banque « moderne » l’argent des caisses de retraite et une partie des réserves de la Banque d’Algérie.
Portraits d’hommes politiques, stratégies douteuses, utilisation des intégristes musulmans, massacres des populations, faux barrages de police, collusions, trahisons… l’auteur dresse un tableau véridique du fonctionnement du pouvoir et de la corruption.
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