De 1921 à 1923, Sebastian San Vicente était de passage au Mexique. Il a attaqué des haciendas, sauvé des prostituées, dirigé des grèves, fait des cauchemars et prêché la dernière utopie.
"Avant tout, De passage est un livre romantique. Le portrait en creux d'un des personnages les plus sympathiques jamais mis en scène par P. I. Taibo II."
Édouard Waintrop, Libération