Car on peut noyer la hache de guerre des révolutionnaires tous les soirs au fond de son verre et s’apercevoir qu’elle n’est pas soluble dans le whisky, on peut être rangé des voitures et devoir subitement enfourcher sa grosse cylindrée pour semer une horde d’assassins aussi collants que la gomina de leurs cheveux. Et on peut découvrir les mystères de l’art sur le tard.
Dans une course poursuite haletante et désespérée, ce polar sauvage et cruel offre une visite guidée d’un musée des horreurs. De modernes plasticiens et d’anciens plastiqueurs se démènent dans un monde où rêves et cauchemars se confondent.
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Rien de tel pour réveiller les ardeurs de l'ex-révolutionnaire soixante-huitard, féru de Sun Tzu et de Clause-witz. [...] Alerte, intelligent, fichtrement bien écrit. Un savoureux moment de lecture. »Charlotte AsperTELERAMA