Dans la presse

Télérama

Christine Fremiot

"Parfois, l’Italien Giancarlo De Cataldo ralentit le rythme de sa narration pour décrire sa ville. Il oublie le polar, l’action, le feu, et s’attarde sur les toits de Rome, le soleil de décembre et cette lumière si particulière qui réunit, à l’heure du prosecco, les habitants de la cité et les touristes ébahis. Puis sa nature profonde revient au galop, et l’auteur de Romanzo criminale, Suburra ou Rome brûle retourne à la guerre des clans, au règne des voyous, aux mafias qui s’entretuent devant quelques évêques comptant les points…"

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