Dans la presse

RTBF - Musiq3

Sophie Creuz

« Indridason, à la manière d’un horloger, emboîte des petites pièces qui soudain fonctionnent en donnant un bruit familier et se mettent à tourner toutes ensemble. Pas de lyrisme chez lui, rien d’inutile non plus, un pragmatisme qui n’exclut pas des ouvertures vers le mystère, des êtres ou des choses, car en Islande, certains croient encore aux fantômes, à la communication avec les morts. »

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