Dans la presse

LA QUINZAINE LITTERAIRE

Jacques Fressard

« La Ronde de nuit c’est […] le coup de génie de Mme Bessa-Luis. Au long des trois cents pages du roman le tableau de Rembrandt est évoqué, décrit, interprété de diverses façons plus ou moins détaillées, une bonne cinquantaine de fois. Non pas comme le feraient des historiens d’art, mais parce que chacun des personnages de la fiction veut la rapporter à ses propres interrogations, à son destin singulier. »