Dans la presse

Le Figaro littéraire

Françoise Dargent

"On a appris à s’attacher à cet antihéros au fil des cinq opus que le romancier islandais lui a déjà consacrés, nourrissant livre après livre une biographie marquée par une enfance difficile et une existence loin d’être irréprochable. […] Au-delà de l’intrigue, ce qui frappe dans ce roman est le climat crépusculaire qu’[Arnaldur Indridason] maintient de bout en bout. Cela tient aussi à la psychologie complexe d’un héros à la moralité vacillante."