Dans la presse

Chargement...

RFI

Ecouter le podcast ici

20 minutes

"Un roman bouleversant et terriblement beau." Lire l'article ici

Site Les Echos

"L'écriture de McGinnis, est à l'image de son double : âpre, dense, mais riche d'ironie, d'humour noir, d'(auto) dérision et de nuances qui rendent la lecture jouissive et galvanisante. L'Américain voyageur (il a vécu en Ecosse et en Angleterre avant de s'installer en France à Marseille) est ...

Le 1 des libraires

"Jarred McGinnis débarque dans notre paysage littéraire avec un premier roman décapant et hyper attachant, réussissant le tour de force de parler de handicap sans faire de son livre un manifeste."

Le Pèlerin

"Avec son talent de conteur, l'auteur Mia Couto, lui-même natif de Beira et poète, a construit cette fiction quasi auto biographique en prêtant sa plume à une galerie hétéroclite de personnages, dont les trajectoires finissent par s'imbriquer, lui permettant ainsi de poser un regard pragmatiqu...

Le Matricule des anges

"Le Cartographe des absences est un moment de vie, suspendu au bord du vide, tenu à bout de bras, par la magie du verbe, au-dessus du gouffre et de l’inéluctable fin. II y a du thriller et du conte, dans ce beau texte aux allures d’élégie."

Trois couleurs

"José Falero insuffle une belle énergie à cette comédie sociale survoltée, sorte de Clerks du Rio Grande do Sul, qui recycle la vieille tradition du roman picaresque."

Libération

"Il n’y a pas que de l’humour dans le roman, il y a aussi de la joie (et de l’amour). Mais, condition humaine oblige, la souffrance est majoritaire."

Site Encres vagabondes

"La lecture de ce roman nous ouvre des univers peu ou mal connus, caricaturés par des films à sensation. Mais dans ces quartiers où la misère est endémique, pour en sortir, l’illégal devient légitime. La personnalité de Pedro est un joyau, une perle rare, un homme qui peut arrêter les gue...

Le Figaro Magazine

"Premier roman d’un jeune auteur né dans une favela de Porto Alegre, Supermarché séduit par le picaresque des situations, sa galerie de personnages, la drôlerie des dialogues, le rythme du récit. José Falero ne trempe pas sa plume dans le misérabilisme et sa peinture sociale est sans illusi...