Dans la presse

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Focus Vif

"Puzzle de personnalités marginales attachantes, La Fille du Diable est un roman fantasque et sensuel qui redonne férocement le goût de l’émancipation souterraine. Après Les Buveurs de lumière, Jenni Fagan se fait ici encore sherpa idéale entre les mondes visible et invisi...

Blog America Nostra / Nos Amériques

"On peut être brillant sans excès, presque modestement. C’est le cas de ce roman, et aussi de son auteur. On peut être universel sans sortir d’une maison, d’une pièce de cette maison, d’un simple livre d’à peine deux cents pages lui-même pas aussi simple qu’il n’y paraît. Un liv...

Revue des Deux Mondes

"L’admirable traduction de David Fauquemberg restitue l’exploit linguistique de James Meek : la langue de ce roman ensorceleur est inédite, plausible et colorée comme celle qu’avait inventée Thomas Chatterton pour son double médiéval, Thomas Rowley ; elle accroît le sentiment de proximit...

Le Courrier picard

"A sa manière, La Fille du Diable est un livre hanté, peuplé de sorcières et de poètes qui resteront longtemps en mémoire."

Blog Baz'Art

"Un roman assez étincelant ! Lire la chronique ici

Site La cause littéraire

"Du grand art à l’efficacité autant précieuse que redoutable, que nous offre Sjón !" Lire la chronique ici

L'Obs

"Un livre perturbant, qui décrit la façon dont les idées nauséabondes viennent aux hommes : avec une grande banalité."

La Marseillaise

"Dans ce récit frigorifique de la courte vie d’un néo-nazi, l’Islandais Sjón montre l’ordinaire et la persistance du mal. Magistral."

Blog En lisant en écrivant

"C’est un polar très mélancolique, qui plonge dans un passé glaçant d’horreur et de violence dont les conséquences sont encore palpables, car le mal et les tortures infligés sont impossibles à oublier et finissent par détruire leurs victimes." Lire la chronique ...

L'Indépendant

"Ce polar avec de faux airs de fantastique est d’une redoutable efficacité. Arnaldur Indridason prouve roman après roman qu’il est le meilleur dans le genre noir nordique."

Télérama

"Poète du temps qui passe, des mémoires inconsolées, Arnaldur Indridason écrit ainsi, livre après livre, des histoires de deuils impossibles. Deuil d’une Islande en voie de disparition, banalisée par la mondialisation, deuil d’une enfance volée, deuil d’une injustice jamais reconnue. Le...