Dans la presse
"Un très grand romancier distille tout son talent dans une courte fable. C'est Bernardo Carvalho, c’est La Dernière Joie du monde et c’est un des sommets de cette rentrée d'hiver."
"Ce road-trip crypté, à l’écriture exigeante et splendide, interroge notre présence au monde. Entre leçon philosophique et épopée mystérieuse."
"Un roman tranchant comme l’épée, où chaque mot semble capable d’enflammer la page sur laquelle il est imprimé."
"La Dernière Joie du monde est à consommer cul sec, tel l’élixir de lucidité délivré par un vieil ermite dans un roman de science-fiction."
"Les romans qui s’installent dans la pandémie sont souvent ratés. La puissance du phénomène rend caduques la plupart des textes qu’il inspire, comme si l’écrivain, en se mettant sur son trente-et-un de catastrophe, avait perdu au passage le naturel de ses moyens et, tel un ivrogne, toute ...
"C’est un livre drôle, doux et touchant qui incite à porter sur les êtres et les choses un regard simple, curieux et non-conformiste."
"Un livre franc, tendre et poignant."
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"Voilà un livre profond et décapant, à mettre dans les mains de tous ceux qui s'apprêtent à devenir père ou projettent de le devenir."
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"Bien calé sur le rythme lancinant des errances de son antihéros, Indridason démystifie une nouvelle fois avec ce roman d’un noir profond la rudesse et le conformisme de la société islandaise."
"Prendre la plume pour dire les plumes qu’on a laissées dans une relation : la métaphore aviaire file, vole, tourbillonne, traverse tout ce récit aussi délicat que l’oisillon recueilli. S'identifiant à cet animal mal en point, Charlie Gilmour, abandonné par son père, découvre que ce dern...
"Un chef d’œuvre à redécouvrir absolument."
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