Dans la presse

LIVRES HEBDO

Véronique Rossignol

« Décrivant très affectueusement le charme des vies sur l’eau « vagabondes », l’auteur semble plein de nostalgie pour un monde qui s’éteint avec ses derniers représentants, quand les écluses automatiques remplacent les éclusiers et que les artisants comme Raymond disparaissent sans héritiers. »