Dans la presse

Télérama

Michel Abescat

"Poète du temps qui passe, des mémoires inconsolées, Arnaldur Indridason écrit ainsi, livre après livre, des histoires de deuils impossibles. Deuil d’une Islande en voie de disparition, banalisée par la mondialisation, deuil d’une enfance volée, deuil d’une injustice jamais reconnue. Les enquêtes qu’il met en scène sont des tragédies lentes, écrites au plus près des personnages, portées par un sens aigu des atmosphères, mélancoliques et tendres. Elles vous pénètrent au plus profond et ne vous lâchent plus."

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