C’est une maison dans laquelle les femmes ne se sont jamais senties bien, les familles n’y sont jamais restées longtemps. Une médium dit même y avoir perçu une sensation d’étouffement. Pendant des travaux de modernisation, le mur de la cave s’écroule et un corps apparaît.
Konrad enquête et met au jour des mystères anciens.
Dans le même temps il presse la police d’élucider le meurtre de son père mais il a oublié qu’à l’époque, l’enfant qu’il était avait menti, et il se retrouve soupçonné.
Toujours dans une ambiance à la Simenon et avec Konrad, un héros ici très ambigu, moyennement sympathique, noyé dans l’alcool et la solitude, un roman noir magistral dans lequel le passé et les victimes oubliées ressurgissent.
Un nouveau best-seller du roi du polar islandais.
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"Arnaldur Indridason, le Simenon de Reykjavik" Lire l'entretien iciDidier JacobL'Obs
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"Un chef d’œuvre de plus pour Arnaldur Indridason."Bernard CattanéoLe Semeur hebdo
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Dans la sélection "7 polars à dévorer cet hiver" des Echos, article à lire iciIsabelle LesniakLes Echos
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"Comme toujours, le roman est mené de main de maître avec des rebondissements et des surprises."Guy DuplatLa Libre Belgique
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"Outre l’indéniable talent de l’auteur pour glisser d’une époque à l’autre, le livre vaut surtout pour son fil conducteur qui est la violence faite aux femmes. Épouse battue, viol domestique, inceste, l’intrigue tourne autour d’un écheveau sans fin de brutalisé subies par la gente féminine depuis toujours. Un fléau inextinguible qui structure ce polar souvent glauque et désespéré qui épouse frontalement et magnifiquement la cause féministe."Xavier LeherpeurFrance Inter - Une heure en séries
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"Dans ce portrait d’une société très masculine, l’auteur fait la part belle aux femmes auxquelles il ne prête aucune sauvagerie, sauf dans les rêves, mais de la droiture et de l’empathie. Ouf, l’humanité est sauvée !"Marie Godfrin-GuidicelliZibeline