Dans la presse

LE MATRICULE DES ANGES

Franck Mannoni

« De très belles pages sur la solitude au milieu des déferlantes rappellent les grand thèmes de Conrad. […] L’Italie, dont des millions d’émigrés miséreux ont essaimé de par le monde, veut oublier ses miséreux. Elle regarde de haut ces crève-la-faim qui arrivent en navires épave. Le livre de Filippo, fait de phrases courtes et hachées, délivre des instantanés aveuglant. Les nécessiteux y posent, avec pour seul horizon une criminalité quotidienne sont ils sont les victimes et, parfois, le bras armé. »