Dans la presse

INTER CDI

Sandrine Leturcq

« Dans un style musical qui nous emporte dès ses premieres notes, comme une mélopée douce-amère, Maria Valéria Rezende nous transporte dans les favelas du Brésil, dans les pensées et le parcours hasardeux de deux laissés-pour-compte, entremêlés aux répertoires populaires ou culturels […] C’est là un roman particulier, à la fois dur et tendre, entre réalité et légende, dont on sort un peu comme d’un rêve éveillé. »