Dans la presse

CHRONIC’ART

Julie Coutu

« Nous commençons notre descente traite de la solitude, des ambitions avortées, des espoirs déçus, de la difficulté, voire de l’impossibilité de communiquer. Entre deux personnes, deux mondes, deux points de vue. De la difficulté à transmettre. […] Meek, contrairement à son anti-héros, n’est pas disposé à écrire pour rien. Son analyse d’un univers qu’il connaît bien est lucide, sa justesse de ton transforme presque certaines scènes en reportages. Il bouscule la question des égo, de la frustration, de l’ambition, sous couvert d’un lyrisme discret.»