Dans la presse

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LE MONDE DIPLOMATIQUE

« Obsédant, le cri grossit et se multiplie « avec une force ascendante ». Le cri de l’horreur. Le cri de la Colombie. »

L’AMATEUR DE CIGARE

« En choisissant un vieillard comme narrateur, l’auteur dépeint de façon tout à fait nouvelle le thème pourtant trop souvent abordé de la peur et des violences qui ravagent la Colombie. »

ALTERMONDES

« Evelio Rosero nous offre une narration d’une intensité rare… mais aussi d’une noirceur inégalée… La descente aux enfers de San José et de ses habitants, si habilement décrite au travers du regard d’Ismael, devient le sym...

LE REPUBLICAIN LORRAIN

« L’écrivain colombien fait oeuvre originale en montrant la guerre du point de vue des civils soumis à l’arbitraire, au désordre, à l’imminence de la mort. Le tour de force est ici de mettre en résonance un monde instable, au bord du go...

LA MONTAGNE

« Le vieil Ismael, qui aime passionnément la vie, le plaisir, l’intelligence, cède en quelques heures, face à la folie des hommes en armes qui surgissent… »

ESPACES LATINOS

« Evelio Rosero nous montre le monde du point de vue du vieil instituteur dont la stabilité mentale s’effondre lorsque le village est dévasté, il nous donne à voir ce qu’est la violence arbitraire et irrationnelle exercée sur des otages anony...

LE TEMPS

Evelio Rosero laisse la parole au vieux prof. C’est la force de son récit : la guerre est là, tissée dans la vie des gens, opaque, tapie, prête à semer sa grenaille à l’aveugle. On ne la voit pas mais elle imprègne tous les gestes, la ...

EVENE.FR

« Sa plume dégage une force nouvelle, inédite, qui confère à ce court roman une beauté crépusculaire intense. »

CARNETS DE SEL

« Voici un roman étranger sur lequel il convient vraiment de s’attarder. Cet auteur colombien aborde ici la violence et la peur qui sévissent dans ce pays ensanglanté, mais sous un jour particulièrement original en choisissant tout simplement en vieil ins...

VALEURS ACTUELLES

« Ces nouvelles parfois déconcertantes mélangent réalité et l’image que cette réalité inspire au conteur, comme deux tableaux superposés qui en font surgir un troisième. Les Amérindiens ont le goût des histoires a...