Dans la presse
« Le plus talentueux romancier de cette fournée écossaise est néanmoins John Burnside […], il donne avec Les Empreintes du diable le plus abouti de ses romans et, sans doute, l’un des plus beaux livres de cette rentrée. » ...
« Comme une réponse au dicton placé en exergue, écho d’une sagesse populaire : "Mieux vaut le diable qu’on ne connaît pas". Magnifique »
« Le roman de Burnside est d’une tranquille cruauté, écrit dans une langue qui coule de source. »
« Dans son troisième roman, l’Ecossais John Burnside décrit une chute dans la solitude, l’adversité, la folie. Oppressante, mais terriblement belle. […] John Burnside n'écrit pas des histoires pour faire peur, il nous prend seulement pa...
« Sur les traces de l’enfance et de ses traumatismes qui hantent une vie d’homme. »
« Mais les histoires inoffensives, ça n'existe pas. John Burnside, qui est poète, écrit superbement celle-ci, chef d'œuvre d'ambiguïté et de suggestion élégiaque, exhalant une douce violence, celle des hommes comme de la communaut...
« L'auteur soulève ainsi avec subtilité la question du bien et du mal, sans y apporter de réponse. Au lecteur d'en tirer ses propres conclusions, comme dans un conte. »
« C’est toute la force de cet écrivain écossais, à la maîtrise narrative impressionnante, que de suggérer le maelström qui hante ses personnages. Cette tempête de sentiments multiples, complexes, voire contradictoires qui s’em...
« Mais ce que contiennent ces 218 pages est bien trop vaste et riche pour souffrir le moindre résumé. »
- Joseph Macé-Scaron, émission du 18 janvier 2008
- Louis-Philippe Ruffy, émission du 25 janvier 2008
- Francesca Isidori, émission du 7 février 2008