Dans la presse

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LES INROCKUPTIBLES

« Le roman, très habilement construit sur un mode polyphonique, s'apparente au récit d'une revanche, et presque d'une vengeance : celle d'un étranger qui doit s'intégrer dans un pays qui n'est qu'à demi le sien, où il devien...

LE FIGARO LITTERAIRE

« M. Claudio ouvre la boîte de Pandore qu'est l'imagination d'un criminel. Dans sept monologues intérieurs, les délinquants racontent «leur» version, une histoire parallèle aux faits, issue des abysses de leur inconscient. [...] Les prisonnier...

LE MONDE DES LIVRES

« Cet étonnant polar géopolitique est aussi une véritable déclaration d'amour à Istanbul. [...] Au-delà des questions de stratégie qu'il soulève, c'est cette atmosphère de cauchemar qui le rend singulier. »

EPOK

« Réflexion politique, purs moments de fantaisie et d'aventure, élégie à l'amour éternel et peinture d'une démocratie corrompue ... en tout cas, [le] roman fait mouche. »

ELLE

« Une jeune métisse à la peau claire cherche sa place et ses alliés dans une société où il faut, avant toute chose, s'afficher soit noir, soit blanc. [...] On tombe vite sous le charme de cette atmosphère étrange où, peu &agrav...

LIVRES HEBDO

« Le héros du roman, marin devenu cuisinier, rembobine les péripéties qui l'ont conduit jusqu'à la belle Marina. L'esprit d'un Luis Sepúlveda et d'un Jean-Claude Izzo [...] flotte sur cette marmite romanesque épicée que touil...

MADAME FIGARO

« Leonardo Padura [...] décline l'un des plus beaux thèmes du roman noir : la fascination éperdue pour une femme dont la trace se perd dans le passé. [...] L'écriture élégante et charnelle de Padura exalte une nostalgie entêtante q...

ENCRE NOIRE

« Avec ce petit chef-d’œuvre, Leonardo Padura […] poursuit sa rénovation du roman policier cubain. »

LES INROCKUPTIBLES

« C'est la fureur de dire qui anime la cascade de digressions de Jeremiah Brown, au seuil du retour au pays après douze ans d'exil aux états-Unis. Douze ans de solitude traversés d'amours bancales, de petits boulots, de petites humiliations empilées et d...

TELERAMA

« L'ombre de Manuel Vazquez Montalban plane [...] entre sourires, sensualité et désespoir. [...] Et la nostalgie suinte à travers les pores d'une écriture qui peut tout dire : l'amour, la mort, la haine, le sexe, la solitude , sans jamais perdre de cette...

TELERAMA

« L'ombre de Manuel Vazquez Montalban plane [...] entre sourires, sensualité et désespoir. [...] Et la nostalgie suinte à travers les pores d'une écriture qui peut tout dire : l'amour, la mort, la haine, le sexe, la solitude , sans jamais perdre de cette...