"Cette variation féministe et libertaire autour du canevas de Frankenstein rue dans tous les brancards possibles. Visuel, avec un texte où alternent illustrations à l’ancienne, pâtés et gribouillages ; typographique, avec des sautes permanentes d'un registre de discours à l'autre, de la lettre à l’article de Who’s Who ; idéologiques, avec de véhémentes considérations politiques, nationalistes et sociales. Alasdair Gray s’affaire dans ce laboratoire littéraire avec une rage enjouée de biogénéticien linguistique foutraque. La réjouissance littéraire à l’état pur."
Dans la presse