Dans la presse

LIBERATION

Jean-Baptiste Marongiu

"Si le volume, presque 600 pages, dépasse déjà le genre noir, d'habitude beaucoup plus économe en papier, c'est l'ambition de l'entreprise qui est tout à fait débordante : raconter non pas une mais les mille histoires qui ont autant composé que décomposé l'Italie récente, de l'enlèvement d'Aldo Moro par les Brigades rouges le 16 mars 1978 à la montée en puissance de bandes criminelles prospérant en cette zone grise, d'une rare opacité, où l'Etat et l'anti-Etat se rejoignent et parfois se confondent."