Dans la presse

Revue des Deux Mondes

Lucien d'Azay

"L’admirable traduction de David Fauquemberg restitue l’exploit linguistique de James Meek : la langue de ce roman ensorceleur est inédite, plausible et colorée comme celle qu’avait inventée Thomas Chatterton pour son double médiéval, Thomas Rowley ; elle accroît le sentiment de proximité que l’on éprouve avec ces personnages d’autant plus vivants qu’ils sont menacés par l’imminence d’un cataclysme apocalyptique."