Dans la presse

MARIANNE

Myriam Perfetti

"Entremêlant passé et présent dans une langue intense, qui n'est pas sans évoquer les mythiques sagas moyen-âgeuses, Arnaldur Indridason, qui a fait de la mémoire le thème récurrent de ses intrigues, met à mal le trop parfait modèle de la société scandinave. "J'ai choisi, explique-t-il, le terrain du réalisme social. Je raconte la réalité, celle que vivent les Islandais. La violence, ici, est pernicieuse. " Indridason révèle la partie immergée de l'iceberg islandais : ses histoires vous prennent de pleine face."