Dans la presse

LE FIGARO LITTERAIRE

Astrid Eliard

« M. Claudio ouvre la boîte de Pandore qu'est l'imagination d'un criminel. Dans sept monologues intérieurs, les délinquants racontent «leur» version, une histoire parallèle aux faits, issue des abysses de leur inconscient. [...] Les prisonniers qu'a rencontrés M. Claudio ne s'y sont pas reconnus. Et pour cause, la littérature a transcendé leurs voix, les a constellés de bijoux, pour qu'ils scintillent dans la Grande Ourse. »