Dans la presse

TELERAMA

Martine Laval

« Indridason réveille des effrois enfouis dans la glace, gelés dans le temps. Son héros, aussi mélancolique que furibond, navigue entre ses souvenirs, ses ratages, ses devoirs. Prêt à chavirer, il abandonne sa carapace de superflic, et n’est plus qu’un homme. Un type vraiment chic. »