Dans la presse

La Tribune dimanche

Anna Cabana

"A la fin du livre, elle le dit : "Je veux mourir en dansant tout comme j'écris." Et à cet instant, les éclats clairvoyants dont elle a truffé son texte et qui jusque-là nous gratifiaient de leur scintillement au creux d'une incise, dans le tombé d'un verbe bien senti, s'alignent soudain dans le ciel de la littérature : en effet, Rosa Montero écrit comme on danse, c'est exactement cela. Et c'est très spécial, profond et ébouriffant, vital, même si la mort est au bout du chemin, surtout parce que la mort est au bout du chemin."