"Si on a pu dire du roman policier qu'il décrivait à travers des symptômes l'agonie de toute une société, c'est particulièrement vrai du théâtre de la cruauté de Laura Grimaldi qui, derrière la façade admirable des belles demeures italiennes, met à vif les derniers soubresauts d'un monde en train de disparaître.
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