Dans la presse

TELERAMA

Martine Laval

« A Bologne, [...] la justice laisse à désirer. L. Macchiavelli, auteur d'un réjouissant roman, y lâche son héros aux intestins capricieux, le sergent Sarti Antonio. [...] Magouilles politiques, traites d'immigrés, crimes crapoteux, police véreuse : les entrailles de la ville rose sont noires d'horreurs. Très pince-sans-rire, Loriano Macchiavelli batifole avec insolence, malmène son héros, se moque de lui (il faut dire qu'il fonctionne parfois au ralenti, ce qui le rend sympathique). »