Dans la presse

LIBERATION

Philippe Lançon

"Neuf nuits pourrait s'intituler Amazonia, tant on y est, ou Tristes tropiques, si le titre n'était déjà
pris. Tout est magique, méandreux, hostile, et pourtant comique. Comme Aguirre, le lecteur remonte l'histoire en radeau, à la recherche d'un El Dorado qui n'existe que parce qu'on le cherche; c'est suffisant pour aller au bout du monde et du livre. Comme l'écrit un personnage, "le rêve des uns est la réalité des autres"".