Dans la presse

Chargement...

LES INROCKUPTIBLES

"C'est tout le charme de Mongolia de jouer sur l'ambiguïté des récits de voyage : l'ethnocentrisme y est bien sûr moqué, mais tout autant l'angélisme de principe des aventuriers bien-pensants. Carvalho, lui, invente un entre-deux propre...

LE MONDE

« Nous demandons du rire et des larmes, du rêve et des émotions, de la couleur et de la musique. Sepúlveda nous offre tout cela en brassées généreuses et fraîches. »

TELERAMA

« Il vous embarque, Bernard Giraudeau, vous tire vers le large, vous serre dans ses filets. Avec un don irrésistible pour dire le clair-obscur de la vie et capter l'éternité des émotions. »

LE FIGARO LITTERAIRE

"Trois ans après le Marin à l'ancre, chroniques de voyages écrites sous forme de lettres à un ami disparu, le comédien-réalisateur-bourlingueur Bernard Giraudeau revient avec un recueil de cinq textes coiffé d'une épigraphe de Lo...

ELLE

"Sous la belle gueule de Bernard Giraudeau, tout un monde pas toujours gai. Dans son récit épistolaire, "Le Marin à l'ancre", comme dans ce recueil de nouvelles, "Les Hommes à terre", un univers de solitude planté dans des ports du Portugal ou de France, peupl&...

FRANCE SOIR

« 1957, à Buenos Aires. Casimir, le lion du cirque, s'est effectivement échappé. [Mais] la seule chose qui intéresse vraiment [Leon Ferrara] c'est d'aller danser le tango le samedi soir. Sauf que cette vie modeste va se retrouver chamboulée par tr...

LE MONDE

« D'une écriture simple, immédiate, Le Monde gris, comme Ciel bleu, déborde de poésie, d'intensité dramatique et d'humour nés des yeux curieux et espiègles de l'enfant narrateur. »

L'ALSACE

« Le bonheur pris à le lire est avant tout affaire de rythme, de phrases, de rencontres au coin de bars, de mélancolie ambiante. [...] Dictature, pouvoirs occultes, violence organisée y conjuguent leurs effets. Mais l'auteur prend soin d'y ajouter un savoureux m&ea...

LA TRIBUNE DE GENEVE

"Le polar a toujours constitué le vrai roman social. De par sa fonction, l'enquêteur traverse les milieux les plus divers à la recherche d'une réponse qui importe finalement moins que la question subsidiaire. Comment ceci est-il possible ? Ainsi en va-t-il avec Sa...

LE FIGARO LITTERAIRE

« Un roman emprunt de colère, la dénonciation d'un monde sans repères, finalement dominé par un jeu pervers entre maîtres et esclaves consentants. »

L'HUMANITE

L'art de Lidia Jorge est de laisser le récit se mettre en place, de faire avancer le lecteur dans la lenteur d'une de ces journées accablantes, guidé par ce personnage auquel on s'attache avant de comprendre ce qui lui arrive. Ce très beau roman, moin...