Dans la presse
« Une sublime histoire d'amour entre un père et sa fille. »
« Un subtil récit familial hanté par une faute. »
"J'étais la fille d'un hasard, d'un élan, d'une brève rencontre de voyage, d'une fougue juvénile, de l'exubérance des corps." Depuis toujours, la narratrice, une jeune Portugaise que l'on va suivre de l'enfance à la m...
A l'écrit comme à l'oral, il y a chez Lidia Jorge une patience et une virtuosité de brodeuse, et l'expression d'une sensualité charnelle.
« Prodigieux d'étrangeté, ce long roman mélodieux et sinueux [...] est à l'image de l'œuvre tout entière, labyrinthique, poétique, musical, envoûtant. »
Il faut absolument la lire. "Le Vent qui siffle dans les grues" est un roman exigeant qui laisse une impression tellement durable et profonde que cela vaut vraiment la petite peine qu'on a à y entrer. On est saisi, rarement on a vu décrite si implacablement la cruauté...
L'art de Lidia Jorge est de laisser le récit se mettre en place, de faire avancer le lecteur dans la lenteur d'une de ces journées accablantes, guidé par ce personnage auquel on s'attache avant de comprendre ce qui lui arrive. Ce très beau roman, moin...
« Anne-Marie Métailié à l’extrême bon goût de publier des chefs d’œuvres. Le Vent qui siffle dans les grues, de la Portugaise Lídia Jorge, a reçu le Prix de l’APE au Portugal. L’auteur y creuse l...
« Prenez quelques ingrédients comme les cigares, la communauté cubaine de Miami, des femmes mystérieuses, des malfrats pleins aux as [...]. Laissez faire celui qui reçut le prix Pulitzer pour ses enquêtes sur la corruption à Miami et dégustez ce ...
« L'action est à la Nouvelle-Orléans. [...] Terry Manion, qui enquête pour savoir qui a dessoudé son copain faussement suicidé, est aidé dans sa traque par une Madame Claude rangée des voitures. Leur bavardage est à la hauteur des &eac...
Moralité de cette fantaisie policière, à mi-chemin entre roman à clef et l'essai théorique : s'il est légitime parfois de se méfier du traducteur, le plus redoutable dans toute cette affaire, c'est toujours le lecteur.
On sent que Claude Bleton , traducteur d'une centaine d'ouvrages d'écrivains espagnols réputés (Goytisolo, Marsé, Munoz Molina, Savater , Saer, Montalban, etc) s'est beaucoup diverti à fignoler ce premier roman où il se moque autant de lui m&...