Dans la presse
« Un récit bref, soigné, drôle et pathétique à la fois. »
"Kengah, la mouette aux plumes argentées, se trouve engluée dans une nappe de pétrole. Dans un ultime effort, elle parvient à s'échouer sur le balcon d'une maison où vit Zorbas, le chat noir et gros. Comme dans ce monde-là, les animaux se comp...
"Ses possibilités de survie étaient aussi minces que celles de pincer les fesses d'Isabelle Adjani". Ca, c'est du Ramon Diaz-Eterovic, auteur de polars chilien né en 1956 à Punta Arenas, et dont le héros s'appelle Heredia, détective de profession...
Son intrigue a beau être habilement menée, prenante, riche en rebondissements, inquiétante de vraisemblance, le bonheur pris à le lire est avant tout affaire de rythme, de phrases, de rencontres au coin de bars, de mélancolie ambiante? Comme son titre le laisse ente...
Retrouvez l'intégralité de l'article écrit à l'occasion de la parution de La Mort se lève tôt sous format pdf en cliquant ici
« L'ombre de Manuel Vazquez Montalban plane [...] entre sourires, sensualité et désespoir. [...] Et la nostalgie suinte à travers les pores d'une écriture qui peut tout dire ? l'amour, la mort, la haine, le sexe, la solitude, sans jamais perdre de cette ...
Dans Mort d'un chinois à la Havane, l'inspecteur retrouvait un cadavre au doigt tranché, la poitrine lacérée à coups de rasoir. Nous sommes dans la métaphore, le polar métaphysique : le cadavre sur lequel, de livre en livre, on finit ...
"Vents de Carême" appartient à une tétralogie,"Les Quatre Saisons", dont chaque volume peut se lire séparément mais qui ont tous pour héros le singulier Mario Conde, flic à l'instinct et solitaire, avec, pour toute famille, son am...
Les plus belles pages de "Vents de Carême" n'ont de policière que l'allure. Elles touchent à l'essentiel. C'est-à-dire à l'inhumanité de la condition humaine quand l'envie et la médiocrité règlent la march...
Ceux qui ont lu Passé Parfait, L'automne à Cuba ou Electre à La Havane savent déjà que ce quatrième opus des Quatre Saisons de Leonardo Padura est une réussite. L'auteur cubain n'est pas du genre à changer une r...
Qu'on ne se dépêche pas de sourire et de passer. C'est à une véritable aventure de la conscience que Schlanger invite, et s'il y invite c'est parce qu'il croit qu'elle conduit simplement au bonheur d'une réconciliation. [...] Apologie...