Presse - Page 613 à 614 - Editions Métailié

LE MATIN

« Nous progressons ici au même rythme que l'ethnologue qui emprunte au journaliste sa technique et au poète sa verve. »

LA QUINZAINE LITTERAIRE

« Cette terre d'où ses mots tirent leur violence sourde, leur poésie haletante, pour dire la passion d'être brésilien. »

Antonio Torres. - Venant d'une région du Nordeste, le sert?o de Bahia, je ne peux nier mes affinités littéraires avec le roman des années 30, celui de Jorge Amado, Graciliano Ramos, Jose Lins do Rego et Raquel de Queiroz. J'étais très jeune lo...

LE MONDE

« Peut-être l'œuvre la plus étonnante de cet écrivain. »

L'EXPRESS

« A travers les événements, c'est avant tout l'individu qu'il traque derrière le masque composé de la célébrité. Et il l'aborde où qu'il soit, quel qu'il soit, avec une gourmandise de romancier. »

ELLE

« Magnifiquement écrit, son traité de dissection, accompagné de ses menus pléthoriques et follement poétiques, nous met l'eau à la bouche autant qu'à l'esprit. »

L'HUMANITE

« Les réflexions sont parfois des plus pertinentes et bousculent souvent quelques idées trop reçues. Documenté et décapant. »

LE MONDE

« Voici donc Pierre Fatumbi Verger en quête, depuis un quart de siècle, de ces rapprochements qui font la vérité, la dispersion et l'unité de ce monde noir, parti d'Afrique pour le Brésil, où il habite. »

LE MONDE

« Ce texte rare est à lire et relire. Pour cet enfant, et pour des fleurs, la phrase prend racine, s'épanouit, fleurit et retombe avec une fermeté et une grâce aujourd'hui inimitables. »

L'EXPRESS

« Un ouvrage qui devrait recevoir le Fossile d'or pour la vulgarisation la plus réussie et la plus drôle sur la vie de nos ancêtres préhistoriques. »

LIBERATION

« Comment ne pas penser au Voyage au bout de la nuit quand on lit A. Lobo Antunes ? Vingt-sept mois d'esclavage sanglant dans la guerre d'Angola. Un voyage au bout de l'horreur. »