Dans la presse

LE MATIN

« Un classique de la sociologie américaine qui étudie le phénomène de la déviance sous l'aspect du déviant, de la morale et de la répression. »

LE MONDE

« Rien n'échappe au pouvoir corrosif de l'humour. Tendresse, amitié, passions, amour filial, tout n'est que mensonge et faux-semblant. Le désir seul subsiste, mais un désir dont la satisfaction, pourtant rare, ne saurait être qu'une trahison du...

LIBERATION

« Deux jumeaux opposés par une haine farouche tombent amoureux de la même femme. Tout l'humour grave d'un spectateur ironique de la comédie humaine. »

LE MONDE

« A partir de détails réalistes, la narration tisse lentement sa trame dans des registres étranges ouvrant les portes du fantastique sans pour autant s'y aventurer franchement. »

LIBERATION

« Du grand feuilleton tumultueusement philosophique façon Autant en emporte le vent faulknérien. »

L'ÉVÈNEMENT DU JEUDI

« À eux seuls, ces contes préfigurent tous les chefs-d'œuvre qui ont rendu si populaire la littérature sud-américaine. »

LE MATIN

« Nous progressons ici au même rythme que l'ethnologue qui emprunte au journaliste sa technique et au poète sa verve. »

LA QUINZAINE LITTERAIRE

« Cette terre d'où ses mots tirent leur violence sourde, leur poésie haletante, pour dire la passion d'être brésilien. »

LA QUINZAINE LITTERAIRE

Antonio Torres. - Venant d'une région du Nordeste, le sert?o de Bahia, je ne peux nier mes affinités littéraires avec le roman des années 30, celui de Jorge Amado, Graciliano Ramos, Jose Lins do Rego et Raquel de Queiroz. J'étais très jeune lo...

LE MONDE

« Peut-être l'œuvre la plus étonnante de cet écrivain. »

L'EXPRESS

« Un ouvrage qui devrait recevoir le Fossile d'or pour la vulgarisation la plus réussie et la plus drôle sur la vie de nos ancêtres préhistoriques. »

LIBERATION

« Comment ne pas penser au Voyage au bout de la nuit quand on lit A. Lobo Antunes ? Vingt-sept mois d'esclavage sanglant dans la guerre d'Angola. Un voyage au bout de l'horreur. »