Dans la presse

LA LIBERTE

Alain Favarger

« Surnommé Petit Oncle, Omar a enduré tant de sévices qu'il a quasiment perdu l'usage de la parole. Nîna, qui s'occupe de ce vieillard meurtri, est une Kurde irakienne. [...] L'amour et sa charge libératrice représentent la veine palpitante de ce roman âpre. L'un des plus saisissants que l'on puisse lire aujourd'hui sur les blessures secrètes qu'inflige la condition de paria moderne. Et le silence que lui imposent nos sociétés bavardes. »