"Poussière dans le vent vous prend aux tripes et ne vous lâche plus, pendant plus de 600 pages, et vous le refermez en pleurant parce que c’est fini. [...] Franchement, s’il y a un roman à ne pas manquer en ce début d’automne, c’est bien celui-là. Et si vous n’avez pas la gorge serrée en le refermant, je ne peux plus rien pour vous."
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