Dans la presse

Le Point

Sophie Pujas

« Son portrait de groupe décline mille nuances de la perte et de recherche d’un nouvel Eden, qu’il soit du côté de l’art ou de la spiritualité. Car nostalgie et désenchantement, chez Padura, ne riment jamais avec désespoir. Dans ses pages, la sensualité, comme l’amour des nourritures terrestres, tient une place délectable. "Faire souffrir les personnages tout le temps, c’est bon pour Dostoïevski, pas pour un écrivain cubain !" Avant d’être perdu, tous les paradis ont eu le goût du bonheur. Et à Cuba peut-être plus qu’ailleurs. »

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